#été2023 #07bis | nos corps à distance
Je n’ai pas assez parlé de cette odeur du matin qui chasse l’air alourdi de la nuit, il faut imaginer l’amertume du café soluble — et la lumière qu’il me reste de ces matins — l’odeur de la première cigarette — à peine a-t-elle terminé sa tasse de café qu’elle allume une cigarette, il n’y a aucun souvenir des mots Continuer la lecture#été2023 #07bis | nos corps à distance