la vie carton-pâte.
imagine si c’était la ville ça serait peut-être une avec le fleuve noir et large, ses quais de travail ou promenade, encombrés de péniches gravides (leurs vélos – leurs vertiges profus de plantes vertes, façon jungle – les grosses lettres du nom sur la croupe arrondie – l’arrosoir métallique) – les ponts et leurs sirènes juchées sur les piles – Continuer la lecturela vie carton-pâte.